Warning: Trying to access array offset on value of type bool in /home/clients/6a42e545e918228a3ad6be638bb55206/web/wp-content/plugins/fusion-builder/shortcodes/components/featured-slider.php on line 239

Groupe Pilote 2018, le bilan

Comme nous vous l’avions annoncé dans un précédent article, le Groupe Pilote (GP) de Dynamo International Street Workers Network (DISWN) s’est tenu à Katmandou au Népal, du 22 au 26 octobre 2018. Pendant près d’une semaine, ce sont 43 participants (un record !) venus de 34 pays qui ont pu réfléchir ensemble sur le travail social de rue, échanger des bonnes pratiques et… découvrir la culture népalaise. Voici le bilan de cette 18e rencontre des membres de DIWSN.
PHOTOS
Comment s’est déroulée la rencontre ?
Ce Groupe Pilote a démarré par une journée de plaidoyer pendant laquelle des moments festifs (les jeunes Népalais présents ont offert des spectacles de danse, de théâtre et de chant) ont succédé aux nombreux discours de représentants politiques nationaux et internationaux ainsi que de représentants de la société civile. Edwin de Boevé, directeur de Dynamo International, et Gauri Pradhan, ancien membre de la Commission des Droits de l’Homme et fondateur du Child Workers in Nepal Concerned Centres, ont souligné les conditions dramatiques que connaissent encore des millions d’enfants en situation de rue à travers le monde. Ils ont aussi rappelé l’importance du travail social de rue pour faire face à ces problématiques.
Pendant les journées de travail qui ont suivi, les membres ont eu l’occasion de faire le bilan des deux années écoulées depuis le 17e GP à Dakar, d’approuver la stratégie du Réseau international pour les 5 années à venir, ou encore, d’officialiser le rapprochement avec la Fondations Lions Club International.
Que retenir de ce Groupe Pilote ?
Les axes de réflexion ont été nombreux pendant cette semaine d’échanges. Retour sur quelques points qui ont particulièrement retenu l’attention des membres.
Les plateformes fantômes
L’expression désigne les plateformes qui ne respectent plus leurs engagements vis-à-vis du Réseau depuis au moins 2 ans (voir Règlement d’Ordre Intérieur). Chacune des 4 régions qui composent le Réseau (Afrique, Amériques, Asie et Europe) a adopté une position qui lui est propre face à la question.
L’Asie est la région qui compte le moins de membres, elle est donc peu confrontée à ce problème et considère qu’il n’y a pas de plateforme fantôme.
En Europe, la zone a connu un passage à vide, notamment du fait des changements qu’ont connus certains membres au sein de leur organisation. Les coordinateurs régionaux considèrent pour autant qu’il n’y a pas de plateforme fantôme dans le sens où, même si les organisations ne sont plus actives au sein de Réseau international, elles le restent au niveau local.
La zone africaine compte officiellement 16 membres mais seuls 7 sont actifs. Toutefois, il a été décidé de n’exclure personne pour le moment. Un courrier officiel sera envoyé aux plateformes qui ne donnent plus de nouvelles.
4 plateformes ont été exclues de la région des Amériques. Il s’agit du Pérou, du Nicaragua, de la Guadeloupe et de la Colombie. Il a été décidé d’attendre le prochain GP avant d’exclure la plateforme martiniquaise, qui montre un réel intérêt même si elle ne participe plus pour l’instant aux rencontres régionales.
Les nouvelles adhésions 
Dynamo International Street Workers Network compte officiellement 5 nouveaux membres à l’issue de ce Groupe Pilote :
Le Guatemala est représenté par l’association d’aide à la jeunesse Siembra Bien.
Site internet (en construction) : www.siembrabien.org
L’Equateur rejoint le Réseau à travers Unidad Patronato Municipal San José, un service municipal de la ville de Quito (la capitale) qui vient en aide aux populations les plus fragiles.
Site internet : www.patronato.quito.gob.ec
La Lituanie a été acceptée grâce à la demande d’adhésion déposée par le Vilnius Social Club, une association d’aide à la jeunesse de Vilnius, la capitale.
Site internet : www.vilniussocialclub.lt
L’Islande intègre également le Réseau mais n’est toutefois pas représentée par une structure reconnue. Il n’y a donc pas de site internet à communiquer.
Israël, où Elem, l’association membre vient en aide aux personnes en situation de grande vulnérabilité.
Site internet : en.elem.org.il
Les groupes de travail
Un système de groupes de travail thématiques a été mis en place pendant cette rencontre.
L’objectif ? Tirer pleinement profit de ce que l’étendue du Réseau (12 000 travailleurs, 3 500 organisations, 51 pays, 4 continents) peut offrir en terme de multiplication des savoirs. Il s’agit également de renforcer l’impact des actions collectives et de concrétiser l’objectif de décentralisation affiché par le Réseau.
4 groupes de travail ont été constitués, chacun avec un (voire 2) référent(s) :
Signification du travail social de rue (TSDR) et statut des travailleurs : Henk Geelen (Pays-Bas) et Verônica Müller (Brésil) – FR, EN, ESP
Mails : henk.geelen@home.nl ; veremuller@gmail.com
TSDR avec des enfants qui ne veulent pas quitter la rue : Ximena Rojas Landivar (Bolivie) – ESP
Mail : xrojasland@amirancho.og
Approche multidisciplinaire : Francis Lacharité (Québec) – FR, EN, ESP
Mail : francis.lacharite@hotmail.com
Notion de communauté au sein du TSDR : Francis Grandjean (France) – FR
Mail : famille-grandjean@wanadoo.fr
Si vous êtes membres de DIWSN et que vous voulez intégrer un des groupes de travail, n’hésitez pas à contacter directement les référents !
Le rôle des experts
Sous la houlette de Pierre Van Den Bril, les experts du Réseau auront pour mission de réviser le Règlement d’Ordre Intérieur (ROI) et de proposer au prochain GP un nouvel article relatif aux demandes d’adhésion.
Par ailleurs, le titre d’« experts » sera très certainement changé pour qu’ils soient désormais qualifiés de « consultants » ou de « personnes ressources ».
3 nouveaux experts rejoignent officiellement le Réseau. Il s’agit de Valbona Hystuna (Grèce), de Philippe Roux (France) et de Henk Geelen (Pays-Bas).
Le Street Work Training Institute
Depuis 2017, le Street Work Training Institute (SwTI) est hébergé par Conversas Associação International (CAI), la plateforme portugaise du Réseau.
Le SwTI, basé à Lisbonne, développe de nombreux projets de plaidoyer, de formation et/ou de sensibilisation, dont certains sont en partie financés par l’Union Européenne. C’est le cas par exemple du projet Asya (2017-2019), coordonné par Asociacion Navarra Nuevo Futuro  et financé par Erasmus+ qui a réuni 6 pays asiatiques (le Népal, les Philippines, le Viêt Nam, Hong Kong, le Timor Oriental et le Cambodge), en marge des ateliers du GP.
Si le Népal, les Philippines et le Viêt Nam, font partie du Réseau, les 3 autres ne sont pas encore membres. Hong Kong et le Timor Oriental ont d’ores et déjà déposé une demande d’adhésion.
Les chantiers à venir pour le Réseau
En ce qui concerne les axes de travail futurs, une modification du Règlement d’Ordre Intérieur est prévue et devra être soumise par l’équipe technique lors du prochain Groupe Pilote afin de permettre aux zones régionales de traiter les demandes d’adhésion. Jusque-là seul le Groupe Pilote pouvait le faire, il fallait donc attendre les réunions une fois tous les deux ans pour qu’un pays rejoigne officiellement le Réseau.
Le Groupe Pilote s’est positionné sur le fait d’avoir des cotisations obligatoires, conditionnant le statut de membre. Il a donc été décidé que l’équipe technique devait envoyer systématiquement des rappels à ce sujet, et des reçus lorsqu’elles ont été réglées.
Par ailleurs, en ce qui concerne les grands rendez-vous à venir, la prochaine rencontre du Groupe Pilote sera organisée en 2020, à Bruxelles, en marge du forum Paroles de Rue. Il s’agit en effet, d’un espace d’échanges et de plaidoyer autour du travail social de rue, organisé pour la 3e fois dans la capitale belge. La tenue simultanée de ces deux événements devrait offrir une plus grande visibilité à l’action des travailleurs sociaux de rue de par le monde.
As we had already announced in a previous article, the Dynamo International Street Workers Network (DISWN) Pilot Group took place in Katmandu, Nepal, from October 22nd to October 26th. For almost a week, 43 participants (a number never achieved before !) from 34 countries sat down together in order to reflect on social street work, share good practices and… discover the Nepalese culture. Here is the overview of DISWN members’ 18th meeting.
PICTURES
How did the meeting go ?
The Pilot Group began with an advocacy day. Moments of joy (young Nepalese performed plays, danced and sang for the audience) succeeded the numerous speeches given by national and international political figures ans representatives of civil society. Edwin de Boevé, director of Dynamo International, and Gauri Pradhan, former member of the Human Rights Committee and founder of the Child Workers in Nepal Concerned Centres underlined the dramatic conditions faced by millions of children in street situation across the world. They also insisted on the importance of social street work to tackle those issues.
During the following days, the members presented the overview of what happened within the last 2 years, following the last GP in Dakar, they approved the Network’s strategy for the 5 years to come, and also acknowledged the closer relationship established with the Lions Club International Foundation.
What should be remembered from this GP?
Many topics have been discussed throughout the week, let’s highlight the most significant ones !
The ghost platforms
The term describes the platforms which did not honor their obligations towards the Network for at least 2 years (see internal rules). Each one of the 4 regions from the Network (Africa, America, Asia and Europe) have taken a position of their own regarding this issue.
Asia is the least expanded region. Thus, the platform is not facing this problem and considers that there is no ghost platform.
Europe suffered a downturn for a while, mostly because many members were going through internal changes. However the regional coordinators consider there is no ghost platform given that all the organizations kept being very active locally.
The African region has 16 members officially but only 7 of them are truly active. However, the decision has been made not to exclude anyone for now. An official mail will be sent to the unresponding platforms.
4 platforms have been excluded from the American region : Peru, Nicaragua, Guadeloupe and Colombia. Martinique still seems to be very interested although they’re no longer taking part to the regional meetings, therefore decision has been made to wait until the next GP before excluding the island or not.
New members
5 new members are officially joining DISWN following this Pilot Group :
Guatemala is represented by Siembra Bien, a local youth organization.
Website (still in progress) : www.siembrabien.org

Ecuador is joining the Network through Unidad Patronato Municipal San José, a municipal service from Quito, the capital city, which helps people in need.
Website : www.patronato.quito.gob.ec

Lituania has been accepted thanks to the application form submitted by the Vilnius Social Club, a youth organization, from Vilnius, the capital city.
Website  : www.vilniussocialclub.lt
Iceland is joining the Network but is not represented by any official structure. Therefore, there is no website to be shared.
Israel, where Elem, the member association is helping the most vulnerable.
Website : en.elem.org.il
The themed working groups
A themed working groups system has been set up and used during this Group Pilot.
What for, you might ask ? To fully exploit the potential of such an extended network (12,000 social street workers in 3,500 organisations, 51 countries in 4 continents) when it comes to sharing knowledge. The aim is also to ramp up the joint initiatives and to achieve the network’s decentralization.
There are 4 themed working groups, each one with one (or 2) leaders :
What street social work is all about and worker status (help professionalize the sector) : Henk Geelen (Netherlands) & Verônica Müller (Brazil) – FR, EN, ESP
Email adresses : henk.geelen@home.nl ; veremuller@gmail.com
Street social work with children who do not wish to leave behind the streets : Ximena Rojas Landivar (Bolivia) – ESP
Email adress : xrojasland@amirancho.og
Multidisciplinary approach : Francis Lacharité (Quebec) – FR, EN, ESP
Email adress : francis.lacharite@hotmail.com
Community approach and social street work : Francis Grandjean (France) – FR
Email adress : famille-grandjean@wanadoo.fr
If you’re part of the Network and you’d like to join a themed working group, feel free to contact the leaders !
The experts’ contribution
Under the guidance of Pierre Van Den Bril, the Network’s experts are expected to modify the internal regulations. Their new article concerning the membership applications should be submitted during the next Pilot Group.
Furthermore, the term “expert” should be replaced in the future so they would be referred to as “consultants” or “resource people”.
3 new experts officially joined the Network : Valbona Hystuna (Greece), Philippe Roux (France) and Henk Geelen (Netherlands).
Le Street Work Training Institute
Since 2017, the Street Workers Training Institute (SwTI) has been managed by Conversas Associação International (CAI), the Network’s portuguese platform.
The SwTI based in Lisbon, develops numerous advocacy, training and awareness projects, some of them funded by the European Union such as the Asya project (2017-2019), coordinated by Asociacion Navarra Nuevo Futuro  with Erasmus+. It brought together 6 Asian countries (Nepal, the Philippines, Vietnam, Hong Kong, East Timor and Cambodia) in parallel of the GP’s workshops. Nepal, the Philippines and Vietnam are already part of the Network while the 3 others are yet to become members. Hong Kong et East Timor have already submitted their application form.
What’s next for DIWSN ?
Regarding the next challenges for DISWN, changes are to be done on the Internal Rules. The modifications should be submitted by the technical team during the next meeting. It would give the regional committee more power over the application requests they receive. Until now, only the Pilot Group could decide who was accepted in the Network, so applicants had to wait 2 years before getting an answer.
The Pilot Group has also agreed on establishing compulsory contributions, required to be a part of the Network. Therefore, it has been decided that the technical team will have to systematically send reminders concerning those contributions and/or receipts when they’re fully paid.
Furthermore, the next Pilot Group will be organized alongside the Words from the streets forum, a space for exchange and advocacy centered around social street work. The third edition will take place in Brussels in 2020. Hosting those 2 events at the same moment would give a much better visibility to social street workers’ impact across the globe.
Como lo habíamos evocado en un precedente artículo, el Grupo Piloto de Dynamo International Street Workers Network (DIWSN) tuvo lugar en Katmandú, Nepal, del 22 de octubre del 2018 hasta el 26. Durante casi una semana,  43 participantes (¡ un récord !) de 34 países reflexionaron juntos sobre educación de calle, intercambiaron sus buenas prácticas y… también descubieron la cultura nepalí. Aquí está el balance del encuentro 18 de los miembros de DIWSN.
FOTOS
¿ Comó se desarolló el encuentro ?
Este Grupo Piloto fue inaugurado por acciones de incidencia política y participación. A los discursos de figuras políticas nacionales e internacionales y de representantes de la sociedad civil sucedieron instantes festivos (niños, niñas y jovenes nepalíes ofrecieron espectáculos de teatro, bailaron y cantaron). Edwin de Boevé, director de Dynamo International y Gauri Pradhan, ex-miembro de la Comision de los Derechos Humanos, también fundador del Child Workers in Nepal Concerned Centres, subrayaron las condiciones dramáticas a las que se siguen enfrentando millones de niños y niñas en situación de calle en todo el mundo. Además, insistieron en la importancia de la educación de calle para solucionar estas problemáticas.
Durante los días de trabajo siguientes, los delegados-as  hicieron balance de los dos años pasados desde el último Grupo Piloto en Dakar, aprobaron la estrategia de la Red para los 5 próximos años, y oficializaron un acercamiento con la Fundación Lions Club Internacional.
¿ Que se puede retener del Grupo Piloto ?
Hubo varios enfoques de reflexión durante la semana de intercambios. Aquí están los más destacados.
Las plataformas fantasmas
La formula designa las plataformas que no respetaron sus compromisos frente a la Red desde a lo menos 2 años (Véase el Reglamento de Orden Interior). Cada una de las zonas que forman parte de la Red (Àfrica, América, Asia, Europa) adoptaron una posición propia respecto a la cuestión.
Asia es la zona que tiene menos miembros, así que no está enfrentando este problema tan como los otros y considera que no tiene plataforma fantasma.
En Europa, la zona conoció un momento difícil, en particular a causa de los cambios que tuvieron lugar dentro de algunas organizaciones miembras. Sin embargo, los coordinadores regionales no consideran que existen plataformas fantasmas en la zona porque aun no son activos en la Red, todos los países lo son a nivel local.
La zona africana se compone oficialmente de 16 países miembros pero dentro de ellos, solo 7 son activos de verdad. No obstante, el grupo no quiere excluir a nadie de momento. Un correo tendrá que ser enviado a las plataformas que no dan noticias.
4 plataformas fueron excluidas de la zona americana. Se trata de Perú, de Nicaragua, de las islas de Guadalupe y de Colombia. Se ha decidido esperar el proximo GP antes de excluir a Martinica, que sigue pareciendo interesada por la Red, aunque no participa más en los encuentros regionales.
Las nuevas adhesiones
Dynamo International Street Workers Network cuenta con 5 nuevos miembros después del Grupo Piloto :
Guatemala está representado por la asociación de ayuda a la juventud Siembra Bien.
Pagina web (en construcción) :www.siembrabien.org
Ecuador se une a la Red gracias a Unidad Patronato Municipal San José, un servicio municipal de la ciudad de Quito.
Pagina web : www.patronato.quito.gob.ec
Lituania ha sido aceptada gracias a la solicitud de adhesión del Vilnius Social Club, una asociación de ayuda a la juventud de Vilnius, la capital.
Pagina web : www.vilniussocialclub.lt
Islandia también ahora forma parte de la Red pero no es representada por una estructura reconocida.

Israel, se añade a la Red gracias a Elem, una asociación que ayuda a las personas más vulnerables.
Pagina web : en.elem.org.il

Los grupos de trabajo temáticos
Se estableció un sistema de grupos de trabajo temáticos durante el Grupo Piloto.
¿ Por qué ? Para sacar mejor provecho de la amplitud de la Red (12 000 trabajadores, 3 500 organizaciones, 51 países, 4 continentes) y de lo que puede ofrecer en cuanto a los intercambios de saberes. Se trata también reforzar el impacto de las acciones colectivas y concretar la decentralización.
Se construyeron 4 grupos de trabajo, cada uno con uno (o dos) referentes :
Significado de la educación de calle y del estatuto de los educadores-as de calle : Henk Geelen (Países Bajos) y Verônica Müller (Brasil) – FR, EN, ESP
Direcciones electrónicas : henk.geelen@home.nl ; veremuller@gmail.com
Educación de calle con niños y niñas que no quieren dejar la calle : Ximena Rojas Landivar (Bolivia) – ESP
Dirección electrónica : xrojasland@amirancho.og
Enfoque multidisciplinario : Francis Lacharité (Quebec) – FR, EN, ESP
Dirección electrónica : francis.lacharite@hotmail.com
Comunidad, trabajo social y trabajo comunitario : Francis Grandjean (Francia) – FR
Dirección electrónica : famille-grandjean@wanadoo.fr
El papel de los expertos en la Red
Bajo la batuta de Pierre Van Den Bril, los expertos de la Red tendrán como tarea modificar el Reglamento de Orden Interior (ROI) y redactar un nuevo artículo en relación con las solicitudes de adhesión.
Además, el nombre de los expertos también sera modificado para que a partir de ahora se llamen “consultores” o “personas referentes”.
3 nuevos expertos ahora forman parte de la Red. Son Valbona Hystuna (Grecia), Philippe Roux (Francia) y Henk Geelen (Paises Bajos).
El Street Work Training Institute
Desde 2017, el Street Workers Training Institute (SwTI) está gestionado por Conversas Associação International (CAI), la plataforma portuguesa de la Red.
El SwTI, basado en Lisboa, desarolla varios proyectos de promoción, formación o sensibilización. Algunos son financiados por la Unión Europea como el proyecto Asya (2017-2019) coordinado por Asociacion Navarra Nuevo Futuro y financiado por Erasmus+, que une a 6 países asiáticos (Nepal, las Filipinas, Vietnam, Hong Kong, Timor Leste y Cambodia), al margen de los talleres del Grupo Piloto.
Nepal, las Filipinas, y Vietnam ya son miembros de la Red, los 3 otros no, pero Hong Kong y Timor Leste ya han presentado una solicitud de adhesión.
Las perspectivas de la Red

Respecto a los futuros enfoques de trabajo, una modificación del Reglamento Orden Interior está en curso y será sometido por el equipo técnico durante el próximo Grupo Piloto. Tiene por objetivo ofrecer más poder a las zonas regionales en cuanto a a las solicitudes de adhesión. Hasta ahora solo el Grupo Piloto podía decidir quien era aceptado o no en la Red, así que se necesitaba esperar dos años para que un país se convierta en un miembro.
El Grupo Piloto se posicionó a favor de contribuciones obligatorias, que condicionan el estatuto de miembro. Por lo tanto se ha decidido de que el equipo técnico tendrá que mandar recordatorios de pago pero también recibos.
Además, en relación con los futuros acontecimientos, el próximo encuentro del Grupo Piloto tendrá lugar en 2020, en Bruselas, al margen del forum Palabras de Calle, un espacio de intercambios y de  promoción de la educación de calle que se organiza por tercera vez en la capital belga. La celebración simultánea de los dos debería ofrecer una gran visibilidad de los educadores y educadoras de calle del mundo.