À propos de Dynamo International
Dynamo International est une ONG et un service d’aide à la jeunesse qui lutte, partout dans le monde, pour la défense des droits fondamentaux des personnes en situation d’exclusion sociale
La stratégie globale de Dynamo International se développe à travers 3 pôles
La stratégie globale de Dynamo International se développe à travers 3 pôles
Groupe ciblé : les enfants et les jeunes
Les enfants dits en situation de rue sont actuellement estimés à +/- 120 millions de par le monde soit quatre fois plus que dans les années 80. N’ayant pas d’accès assuré à l’alimentation, à la santé, à l’éducation ou à d’autres services élémentaires, ils sont la plupart du temps exploités et leurs droits humains fondamentaux sont bafoués.
Une attention particulière doit être portée à la question du genre et l’importance de bien prendre en considération les différences qui existent entre la situation des jeunes filles et des garçons. Vivant le même type d’exclusion, les uns et les autres n’ont pas toujours les mêmes outils pour résister et survivre. Une jeune fille dans la rue court souvent un plus grand danger.
Groupe ciblé : les enfants et les jeunes
Les enfants dits en situation de rue sont actuellement estimés à +/- 120 millions de par le monde soit quatre fois plus que dans les années 80. N’ayant pas d’accès assuré à l’alimentation, à la santé, à l’éducation ou à d’autres services élémentaires, ils sont la plupart du temps exploités et leurs droits humains fondamentaux sont bafoués.
Une attention particulière doit être portée à la question du genre et l’importance de bien prendre en considération les différences qui existent entre la situation des jeunes filles et des garçons. Vivant le même type d’exclusion, les uns et les autres n’ont pas toujours les mêmes outils pour résister et survivre. Une jeune fille dans la rue court souvent un plus grand danger.
La vision de Dynamo International
La mondialisation d’un modèle marchand dominant engendre une crise politique, économique, sociale et culturelle observée au Nord comme au Sud. L’intensité de la compétition pour la conquête de nouveaux marchés, l’endettement, les politiques d’austérité et d’ajustement structurel imposées par les institutions financières internationales produisent, à des degrés divers, une augmentation des inégalités et de l’exclusion sociale.
Près de la moitié de la population mondiale vit avec moins d’1 € par jour alors que 83% de la richesse mondiale n’appartient qu’à 20 % de la population. D’après les données du Crédit Suisse, 42 personnes détiennent à elles seules autant que les 3,7 milliards de personnes les plus pauvres, et la statistique de 2017 a été révisée de 8 à 61 personnes possédant à elles seules autant de richesses que les 50 % les plus pauvres d’après le rapport 2018 d’OXFAM. Les 1 % les plus riches continuent de posséder plus de richesses que le reste de l’humanité
A ces chiffres s’ajoute un contexte de stigmatisation accrue des populations vivant dans les rues où l’identité sociale virtuelle remplace l’identité sociale réelle. Différentes formes d’exclusion sociale apparaissent, ces exclus étant considérés dès lors comme des « figures dangereuses » que les populations craignent et dont ils se méfient : jeunes et moins jeunes, chômeur·euse·s, drogué·e·s, sans domicile fixe, enfants soldats, enfants sorciers, domestiques, sans papiers, réfugié·e·s, illégaux·ales, délinquant·e·s, personnes à bas revenus, marginaux, population en situation de rue, population d’origine étrangère…
Ces phénomènes de paupérisation et d’exclusion s’accompagnent d’un processus d’individualisation de la société illustrée notamment par un déficit de participation des citoyen·ne·s à la chose publique. Le dialogue entre responsables politiques, économiques et les populations se dégrade. Les premiers voyant les autres comme responsables et coupables de leur situation d’exclusion faisant ainsi reposer le poids de la déliquescence sociale sur les seules épaules des individus les plus fragilisés. Ces derniers se sentent abandonnés à leur triste sort par les autorités.
La vision de Dynamo International
La mondialisation d’un modèle marchand dominant engendre une crise politique, économique, sociale et culturelle observée au Nord comme au Sud. L’intensité de la compétition pour la conquête de nouveaux marchés, l’endettement, les politiques d’austérité et d’ajustement structurel imposées par les institutions financières internationales produisent, à des degrés divers, une augmentation des inégalités et de l’exclusion sociale.
Près de la moitié de la population mondiale vit avec moins d’1 € par jour alors que 83% de la richesse mondiale n’appartient qu’à 20 % de la population. D’après les données du Crédit Suisse, 42 personnes détiennent à elles seules autant que les 3,7 milliards de personnes les plus pauvres, et la statistique de 2017 a été révisée de 8 à 61 personnes possédant à elles seules autant de richesses que les 50 % les plus pauvres d’après le rapport 2018 d’OXFAM. Les 1 % les plus riches continuent de posséder plus de richesses que le reste de l’humanité
A ces chiffres s’ajoute un contexte de stigmatisation accrue des populations vivant dans les rues où l’identité sociale virtuelle remplace l’identité sociale réelle. Différentes formes d’exclusion sociale apparaissent, ces exclus étant considérés dès lors comme des « figures dangereuses » que les populations craignent et dont ils se méfient : jeunes et moins jeunes, chômeur·euse·s, drogué·e·s, sans domicile fixe, enfants soldats, enfants sorciers, domestiques, sans papiers, réfugié·e·s, illégaux·ales, délinquant·e·s, personnes à bas revenus, marginaux, population en situation de rue, population d’origine étrangère…
Ces phénomènes de paupérisation et d’exclusion s’accompagnent d’un processus d’individualisation de la société illustrée notamment par un déficit de participation des citoyen·ne·s à la chose publique. Le dialogue entre responsables politiques, économiques et les populations se dégrade. Les premiers voyant les autres comme responsables et coupables de leur situation d’exclusion faisant ainsi reposer le poids de la déliquescence sociale sur les seules épaules des individus les plus fragilisés. Ces derniers se sentent abandonnés à leur triste sort par les autorités.