Cartographie des membres
Amériques (9)
Bolivie, Brésil, Colombie, Equateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Mexique, Québec (Canada).
Europe (23)
Albanie, Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Espagne, Finlande, France, Grèce, Islande, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Slovénie, Slovaquie, Suède, Suisse, Royaume-Uni.
Asie (7)
Népal, Philippines, Vietnam, Israël, Hong Kong, Inde (État du Bengal), Timor Oriental.
Afrique (13)
Algérie, Bénin, Burkina Faso, Congo Brazzaville, Gambie, Ghana, Mali, Mauritanie, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, Tunisie.
Membres en demande d’adhésion (5)
Australie, Cameroun, Côte d’Ivoire, Burundi, Venezuela.
Amériques (9)
Bolivie, Brésil, Colombie, Equateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Mexique, Québec (Canada).
Europe (23)
Albanie, Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Espagne, Finlande, France, Grèce, Islande, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Slovénie, Slovaquie, Suède, Suisse, Royaume-Uni.
Asie (7)
Népal, Philippines, Vietnam, Israël, Hong Kong, Inde (État du Bengal), Timor Oriental.
Afrique (13)
Algérie, Bénin, Burkina Faso, Congo Brazzaville, Gambie, Ghana, Mali, Mauritanie, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, Tunisie.
Membres en demande d’adhésion (5)
Australie, Cameroun, Côte d’Ivoire, Burundi, Venezuela.
Le fonctionnement du réseau
Le réseau est actuellement composé de plus de 50 plateformes nationales de travailleur·euse·s sociaux·ales de rue provenant de pays issus de quatre continents : Afrique, Asie, Europe, Amériques. Des centaines d’associations sont également impliquées.
Chaque plateforme nationale représente un pays et réunit plusieurs associations locales (parfois des centaines), ainsi que des travailleur·euse·s sociaux·ales de rue à titre individuel. Ces plateformes se réunissent régulièrement afin d’élaborer des stratégies, de mener des activités permettant ainsi aux travailleur·euse·s sociaux·ales de rue de confronter leurs réalités. Un ou une coordinateur·trice et un ou une suppléant·e par plateforme sont chargé·e·s de faire le lien avec Dynamo International.
L’ensemble des coordinateur·trice·s nationaux·ales forment le Groupe Pilote du Réseau International. Celui-ci se réunit tous les deux ans pour décider des missions, objectifs et activités à mettre en œuvre.
Des coordinateur·trice·s régionaux·ales sont désigné·e·s par les plateformes nationales dans une perspective de décentralisation du Réseau.
Les objectifs du réseau
- Permettre la prise de parole des acteur·trice·s de terrain
- Augmenter l’efficacité et la qualité des pratiques par le biais de la formation, l’échange et la réalisation d’outils pédagogiques
- Générer une mobilisation internationale afin de construire des réponses structurelles et durables face aux problématiques vécues par les publics rencontrés dans les rues de par le monde
- Interpeller les pouvoirs politiques et autres instances dans la lutte contre les exclusions et les inégalités accentuées par une certaine globalisation
- Promouvoir le travail social de rue dans ses spécificités
Pour mener un travail social de rue efficace, il faut réunir un minimum de conditions. Dans la réalité, la plupart des structures travaillant dans ce domaine sont fragiles. Dynamo International – Street Workers Network a pour but de mettre en valeur et de professionnaliser le travail de terrain. Des propositions « globales » doivent être faites pour affronter les problèmes sociaux. Chacun de nous est porteur·teuse de valeurs, de talents à exploiter afin de bâtir un « nouveau monde possible ». Pour lutter efficacement contre la pauvreté et l’exclusion sociale, nous devons bâtir des propositions concrètes à l’échelle internationale et des cadres théoriques communs tout en respectant les particularités nationales.